11/09/2016
Complétude et Numération
·
Complétude de l’onde 6
J’ai décrit dans le chapitre précédent « ondes premières » la dissociation de « l’onde 6 » comme une double hélice mettant en évidence les points-twists :
Je reprends cette double dissociation :
L’onde 6 apparait ci-dessus dissociée en 4
ondes .
Ces ondes sont associées en paires , ici représentées
( bleu+rose, et Jaune + vert)
La somme d’une paire est nulle.
Les 2 ondes de la paire existent à la fois, elles sont « inséparables ». la
paire est formée de 2 « réciproques ».
Chacune peut être parcourue dans les 2 sens.
· Deux paires réciproques
Si on trace l’axe sur sa longueur, les 4 ondes (couleur) rencontrent l’axe aux points que j’ai appelés «nombres-twists »
Ici les ondes rose et bleu rencontrent l’axe aux points 5, 11, 17, … +6…
Les ondes jaune + vert rencontrent l’axe aux points 1,7,13,… +6…
Compte tenu de ce que nous connaissons de la réalité physique existant et dont la structure des nombres serait le modèle préexistant, je représente une « réciprocité perpendiculaire » en m’inspirant de la réciprocité des ondes électromagnétiques ainsi que de la polarisation de la lumière (représentation analyseur et polariseur) :
Chacun des points de l’onde 6 sur l’axe est donc, avant dissociation, un point contenant la complétude de « réciprocité 4 » : un point « quaternion »
Ces points
définiront notre numération
(paragraphe suivant)
Tous ces points sont identiques et je symboliserai cette identité , « égalité ou réciprocité », par :
Je retrouve la simplicité
du symbole qui a été guide et base de « la
théorie de la réciprocité »
·
La
numération
L’unité 6 est à la base….
On la retrouve ci-dessous, au niveau supérieur… unité
trine (double)…
Observons :
Le schéma est plus parlant que mes mots. Il décrit le paradoxe de l’Origine :
0=1=2 ou (1+1)
1=1+1
« Tout est paire » et l’unité est trine.
L’onde peut être parcourue dans les 2 sens , c’est
ainsi que par une autre approche j’avais
montré que la suite des nombres est
paradoxalement une boucle fermée
infinie… !
La place de « l’origine
0 » qui est fin ou commencement
est en tout point de la BOUCLE
· Nombres premiers
Pn étant la suite des nombres premiers
Les ondes premières de période 2Pn , centrées à partir d’un point origine, rencontrent l’axe aux points twists.
De la même façon que l’onde 6 se dissocie en 4 ondes qui créent les points twists, l’onde 6 ou onde ZERO se dissocie en formant les ondes premières.
La
somme-superposition des ondes premières est l’onde ZERO
Mathématiquement
pourrait-on écrire le raccourci ? :
La série de Fourier
des ondes premières est le ZERO
Zéro se décompose en série de
Fourier : les nombres premiers
Remarque : Chacune des ondes premières est inséparable de la paire qu’elle forme avec son onde « réciproque », symétrique par rapport à l’axe.
Dans la vision de complétude on la voit donc comme « zéro » : c’est ainsi que l’on peut dire que le nombre premier P = 0 (utilisé dans la démonstration de la conjecture de Goldbach)
Chaque ZERO est contenant de la COMPLETUDE
Tout QUANTUM est COMPLETUDE
·
Complétude spatiale
Toute la description ci-dessus et la vision que nous avons des nombres se fait selon un axe.
Ma position dans l’espace et celle de tout observateur , définit un point singulier d’où s’origine une infinité d’axes répartis dans une symétrie sphérique qui permet une vision globale de la complétude spatiale...
Cette position d’observation a été pour moi une clé pour m’affranchir du déjà-connu mathématique (dont je ne savais plus grand-chose d’ailleurs !)
et oser rencontrer le Grand Vide « RIEN » …du TOUT !
La clé est le secret de ma BOUCLE, projection des couches sphériques….
J’ai parcouru ses niveaux vers l’origine, sans fin … puisque la fin est le commencement… et réciproquement…
J’ose maintenant la présenter, le résultat mathématique pouvant justifier ou faire oublier son étrangeté parfois exaltée .