Des « nombres premiers » à la
Numération Première
Les « nombres premiers» font partie
des colonnes 1,5,7,11. J’appelle les nombres
de ces colonnes, « nombres-twists »
Le chapitre
précédent a étudié leur représentation par les longueurs
·
Nous étudions ici la représentation par les carrés :
o Le carré central, carré de coté 1,
est le karum origine
o Chacun des carrés contient ce
karum origine
Nous avons vu que le carré
des nombres twists est multiple de 24 , plus 1.
La représentation
carrée des nombres-twists , contiendra donc des ensembles ® de 24 kara, plus le karum central, origine.
On peut voir
chacun des carrés, comme un « carré
troué » ou
( carré-1) divisible par 24. (voir les tableaux numériques
ci-dessous).
Ainsi par exemple :
o Le carré 5 est formé de 25 kara : 24k + le karum central origine . Le
carré troué est divisible par 24 : il vaut 1®
o Le carré 13 est formé de 132=169 kara . Le
carré troué , divisible par 24 , vaut 168/24= 7® :
·
La suite des nombres apparait dans les couronnes carrées du schéma ci-dessus :
Les couronnes carrées
forment
- la suite des nombres 1 2 3 4 5… en rouge
- la suite impaire 1 3 6 7
9…. en jaune
exprimées en unité ® (24k)
résultats
numériques par tableur :
remarque : les couronnes se
calculent pa la différence entre carrés, ou (carrés-1).
J’ai fait apparaitre les( carrés -1) en unité ®
couronnes
rouges
couronnes jaunes
Le karum « manquant » est le zéro-origine qui permet de
« mesurer » les carrés des nombres twists, en unités ® ou :
Si on considère l’origine comme un manque,
le carré des nombres-twists se mesure en unités ®
Les nombres que nous utilisons , construits par
l’unité ®, sont des multiples de 24
Ce résultat trouvé déjà au
chapitre précédent, donne sous une autre forme la Numération
Première
·
On superpose ces « carrés troués » en pyramide
Remarque : en construisant cette
pyramide, je considère les kara
comme des petits cubes
Le manque, trou central, est
utilisé comme lien . on peut faire l’analogie avec une
« énergie de liaison », qui est utilisée
pour assurer la cohésion
La somme des couches
(carrés troués en ®) fait apparaitre les
cubes (puissance 3) de la suite des
nombres : (ci-dessous les valeurs calculées pour les 20
premiers nombres)
Les cubes sont soulignés en
couleur dans le tableau ci-dessous :
remarque : je montrerai comment le système
décimal est relié aux valeurs particulières des couches
2,20…200,2000…
Comment
se construit la numération ?
Nature et
représentation du nombre
Dans le schéma ci-dessous :
o La première colonne est une série de billes
o Les nombres de la deuxième colonne comptent les billes de la première colonne
(dans leur empilement depuis l’origine)
o Chacun des nombres est représenté sur une horizontale par la QUANTITE. Cette quantité est la
SOMME des billes de la
première colonne (depuis le départ 0)
Ceci correspond à notre représentation usuelle
o On considère ensuite un état
de superposition , ou d’inclusion
(j’ai rencontré cette superposition en
étudiant la construction des niveaux spdf des
couches électroniques)
Chaque nombre inclut les précédents :
cette inclusion est représentée sur le schéma ci-dessus en
rouge .
Mathématiquement ceci se traduit simplement par une
nouvelle SOMME :
i
J’ai fait figurer le zéro.
o
Si on compte ce zéro (il compte
alors pour 1) et chaque bille comme une unité 6 (apparue dans la différence finale , à
partir des cubes, plus haut) , on retrouve la colonne
L’unité 1 de cette nouvelle série (rouge) sera
la somme de 6 kara et du zéro
qui fait leur lien.
Les kara sont
des quanta petits cubes.
Le zéro
est le karum central ( le septième).
La
représentation en volume ci-dessous, permet de représenter cette
unité :
Elle
est en cohérence avec notre système de
représentation dans l’espace : 6 dimensions que nous
avons l’habitude de voir : dessus-dessous, droite- gauche,
devant-derrière .
Pour
nous la septième, origine, est notre corps physique.
Mathématiquement
cela se traduit par les 3 dimensions du système
orthonormé
J’avais eu
l’intuition, en janvier 2008 , de la clé du
mystère de l’origine, ou de l’insuffisance
mathématique qui ne donne pas toute sa dimension à
l’origine.
Mon
travail, depuis lors a été de remonter à cette
source : le lien entre le carré (dimension 4) et cette unité
( à 6 kara), s’était traduit par la réciprocité Matrice-Eclaireur
, une constante présence
dans mes chapitres…
Le
lien entre 4 et 6 prend ici toutes
sa dimension :
(Il ne faut pas oublier que chacun des nombres est
exprimé en
« ® »
ou multiples de 24 = 6 x 4 )
C’est avec
la nature de cette unité que se construit la colonne ci-dessus :
o Une nouvelle SOMME – inclusion donnera
ensuite la série des cubes
Elle doit inclure le 1, qui est le zéro de la
série précédente (rouge)
On associe cette série à une nouvelle numérotation, en cohérence avec les cubes (puissances
3 de ces nombres), qui introduit un
niveau 0 supplémentaire ( série en vert)
Dans cette nouvelle série, les nombres s’expriment avec leur carré,pour
constituer leur QUANTITE (schéma
ci-dessous).
La quantité-somme est
égale au cube : ainsi par exemple, sur le schéma : 4 = 43 = 4x42 = 42+42+42+42
Les nombres twists permettent
d’établir la cohérence de la
numération et de la quantité
Deux formes cohérentes de
numération première
sont liées.
Elles
correspondent à 2 séries numériques
décalées.
Le
décalage traduit « le problème du zéro-origine »
Il est résolu ici , si
on considère un double lien :
(Le Grand Contenant, OUBLIE,
assure la cohérence de la « théorie de la
réciprocité »=
La numération simple que
nous utilisons basée sur l’ unité 6. nécessite un zéro
qui serait double pour qu’il puisse traduire le double lien des 6 kara : « Juste Milieu » et « Grand Contenant ».
Alors
Remarque :
Dans notre présence à la
vie, avec les 6 dimensions (dessus-dessous, droite- gauche,
devant-derrière) , notre Corps
est le « juste milieu », présence à l’espace, et notre Conscience, « le grand
Contenant », présence au
temps..
Quand on prend
la complétude du lien en considération
l’unité de base est alors « l’élément 8 »
Cet élément peut être représenté par
le CUBE
Les
carrés des nombres twists ont
révélé une partie de leur mystère
le LIEN des
« carrés troués », par leur trous « zéros » réserve
d’autres surprises dans le chapitre suivant …