Les orbitales s, p, d, f

 

La physique montre que dans la structure de l’atome , les couches électroniques sont réparties en niveaux d’énergie : les orbitales, telles que :

Sur l’orbitale  s = 2 électrons

                      p =6 électrons

                      d= 10 électrons

                      f = 14 électrons

les électrons sont liés, par leur spin, en paires.

En extrapolant , , on trouve la série impaire, compte tenu du spin .

J’utiliserai ces  nombres impairsqui sont des Paires.

Ces « nombres paires » pour continuer donneront leur valeur aux orbitales :. s  = 1    p = 3    d = 5    f = 7

Les niveaux d’énergie des couches électroniques seront alors « numérisés », dans l’ordre où ils apparaissent dans le tableau périodique des éléments :

 Avec s  = 1    p = 3    d = 5    f = 7

 

C’est cette suite qui m’a permis de construire « la protéiforme » par simple addition au tout début de mon travail : j’utilisais pour le faire la superposition-somme que j’avais rencontrée dans la structure des couches atomiques n, l,m des atomes.

 Je pensais que l’origine pouvait se déduire de ce tableau et m’exclamais alors :  « Le défi de tout chercheur est cette découverte ! » …  Je ne pensais pas à faire une simple soustraction…. !

 

La soustraction a un sens, c’est ce que j’ai vu avec les couches n , l ,m… j’utiliserai donc sa formule ici aussi pour trouver …LA couche-Source ?

 

En utilisant la formule de soustraction qui a donné des résultats ayant un sens pour les couches n,l,m, j’obtiens la colonne de chiffres (en rouge) ci-dessous:

 

Remarque : ce résultat est aussi « la colonne d’Or », à laquelle j’étais arrivée en construisant  «  la réciprocité-4 » de la protéiforme)

   J’y vois une suite de nombres impairs  dont j’explique la formation :

 

Chacun des nombres impairs contient les impairs qui lui sont inférieurs :

Ainsi par exemple 7 = 7,5,3,1  

Cette suite impaire est doublée.

 

Si on  considère  le nombre impair sous la forme  2n+1 : 

On peut le voir comme une paire 2n  ,  1 étant le lien de cette paire.

 

1 = 2x0 +1 = (0,0) = le couple lié de deux 0, que j’écris 0

3 = 2x1 +1 = (1,1) = 1

5 = 2x2 +1 = (2,2) = 2

7 = 2x3 +1 = (3,3) = 3

La suite impaire peut ainsi être considérée comme la suite des nombres n dans sa « complétude couple » : 0 1 2 3 4 5 … Chacun des nombres est une paire liée. 

 

La suite impaire initiale étant doublée, chacun des nombres de la suite n des entiers est représenté 4 fois ( par 2 couples).

C’est « la réciprocité » du nombre.

 

La structure de réciprocité du nombre construit donc la structure de la matière et explique l’interpénétration des niveaux d’énergie s,p,d,f.

 

Juin 2015 :(Remarque : je n’avais pas écrit tous les niveaux spdf du tableau périodique : je le complète ici pour expliquer la  cohérence boucle-protéiforme

Les niveaux suivants sont 7s, 5f, 6d, 7p

7s = 43 + 1 = 44

5f = 44 + 7 = 51

6d = 51+ 5 = 56

7p = 56 + 3 = 59

on arrive ainsi à l’atome du tableau de Mendeleïev : gaz rare de la 7ème couche avec 59 x2 =118 électrons, Z=118)

 

 

 

Suite               OR-igine

 

  00003-Chapitres