L’imaginaire i et le point G
Reprenant la formule qui exprime l’existence du cercle, j’exprime la relation du nombre @, avec le nombre e, base du logarithme népérien
2@ = 4/3
@
= log2
4/3 = 0,41503749927848 …..
voir
« 2 origine
transfinie et le nombre @ »
ce
qui peut s’écrire en utilisant le logarithme
à base 2
@ log22 = log24
– log23
@ = 2 – log23
2 = @ + log23
2 = @ +ln3
/ln2 où ln est le logarithme népérien à base e
J’ai montré que dans leur complétude e et ln sont des réciproques perpendiculaires : la complétude de e est celle de ln et réciproquement (« symétrie » de 8 branches)
Ainsi on pourrait écrire
2 = @ + e
Si on exprime ln par e on traduit la relation de réciprocité perpendiculaire entre e et @
( on verra que « la Grande Cohérence » permet de les considérer comme la « forme quantum » des champs électrique et magnétique, orthogonaux dans la propagation de l’onde électromagnétique)
@ et e sont nombres transfinis que l’on peut écrire 1 .
2 = @ + e s’écrirait 2 = 1+1
Cette écriture pourrait être considérée comme un symbole qui nous montre avec une évidence qui aurait pu nous sauter aux yeux, de façon clairement expressive, que 2 se dissocie en 2 « réciproques » qui sont perpendiculaires : c’est le sens du « signe-symbole » : +:
Ces 2 réciproques sont souvent considérés
comme des « opposés ». Mathématiquement ou algébriquement ,
ils sont traduits par 1 et –1 :
C’est ainsi que 2 visions sont possibles :
Il semble qu’il veuille mettre en évidence la relation entre 2 et 3, qui disparaîtrait avec les puissances de e
Quel est le rapport entre les nombres 2 et 3 ?
On peut écrire une autre dissociation de 2 , en 2 couples ( 0,1 ) et ( i,-i ) : 2 = 1 + 1
· 1 = 0 + 1
· 1 = ( i ) x (-i) = - i2
et 1 + 1 = 2
Ici nous voyons la réciprocité (multiplication, addition) que connaissent les mathématiciens dans le logarithme, et qui est une constante en « protomathématique »
Au total :
Là se trouve la clé de toute l’étrangeté des quarts qui sont tiers ou moitié… qui était ma première découverte dans « la belle fleur »
Il apparaît que 2 = 3… ou 2 = 4 si on compte le quatrième qui forme la réciprocité 4 = 1 .
Ce quatrième défini comme réciproque, n’est alors autre que
ce que nous appelons « -1 »…
alors 2
= 2. Et 2 qui se dissocie en
1 et –1 est 2 = 0
On arrive alors à 0 = 1 = 2 = 3 = 4
On peut représenter l’égalité transfinie 2 = @ + e par le symbole de complétude :
où se dévoile le sens des couleurs.
Chacune des 4 couleurs est un couple de 2 réciproques perpendiculaires - nombres :
S’établit aussi la réciprocité NOMBRE- COULEUR , par celle de e et @. Elle donne une nouvelle forme aux « 8 premiers » (constante de mon travail, depuis les trigrammes du Yi-king)
Il se dissocie en 0 et 1 :
Avec la condition 1
= 3, 2 serait centré et se
dissocie en 1 et –1 :
La condition 1 = 3 et celle qui définit ce que j’ai appelé « le relatif absolu »
La place de 2 impose donc la distance entre 0 et 1 , en construisant le début de la série 1 ,2 ,3 ,4 , …. : cette distance est « 2 »
On remarque donc avant le 1, deux positions : ces 2
positions appelées ZERO,
sont le DEBUT et
Ainsi comme je l’ai montré les nombres s’enroulent
Si on ferme la boucle par 4,
unité de réciprocité :
… où se trouve alors le centre ?… et comment peut se former un cercle ?
On peut calculer la position du centre de gravité G des nombres (4,1,2 ,3) :
(je place 5 entre 4 et 1, 3 entre 1 et 2, 5 entre 2 et 3, puis 8 entre 5 et 3, et 8 entre 3 et 5 : G est au centre entre les deux 8)
Le centre de gravité, avec un « poids » 16 = 42, se trouve au milieu entre 1 et 2
La position du centre de gravité, point d’équilibre, permet de calculer « la valeur-poids » du ZERO : (on considère la position de chacun des points par rapport à ce centre)
(ZERO x
5) +
( 4 x 3) + (1 x 1)
= (2 x 1) + ( 3
x 3)
(ZERO x
5) =
2 + 9 – 12 – 1 = –2 ZERO = – 2/5 = – 0,4
La boucle fermée par 4, unité de réciprocité, est UNITE ORIGINELLE
Unité TOTALITE de l’Origine = 4+1+2+3 = 10
Ainsi est définie l’unité décimale
Avec l’unité
10, ZERO = – 4.
Entre 2 valeurs équilibres extrêmes, 0 et 1, s’établit la
valeur 4, qui
est l’unité de réciprocité : (schéma
ci-dessous)
4 + -4 =
0 4 = 1 :
C’est le centre d’une spirale qui se ferme dans 2 positions
extrêmes et se stabilise au milieu comme CERCLE
Le point G est le centre de ce Cercle
L’existence du cercle , comme fermeture de la spirale de la « belle fleur » avait donné la condition départ de ce chapitre, introduisant la valeur @.
Cette valeur , liée au cercle est aussi liée à π, caractéristique du cercle .
L’ensemble des résultats du chapitre, qui représente «
Je l’écrirai encore , par des mutations qui peuvent paraître encore « intolérables » à un scientifique peu familier avec mes raisonnements :
Ces mutations, sont la beauté de l’évolution et la
merveille de sa création infinie…, joie surprise du cadeau de
… seraient elles « analogues » par une réflexion
de l’Origine dans le Tout , à celles qui se
produisent dans les gènes de