Développement d’une logique continue que je n’ai pas divisée en pages, ce
long chapitre n’est pas (encore ?...) relié par des liens externes aux
pages antérieures auxquelles on peut éventuellement se référer : (recherche par mot-clé)
Les nombres premiers et le principe
d’inclusion
………………………………………………….
·
Les nombres
premiers
Au-delà des nombres premiers, ce chapitre
ouvre d’autres perspectives… sur les nombres, leur structure, leur origine …ou
l’Origine…
·
Le
principe d’inclusion
Que sont les nombres que nous utilisons ?
- approche simple : (sans commentaire)
- La série 1,2,3,4,5,…, se
construit par une opération mathématique que je décris ci-dessous et que
j’appelle somme-inclusion.
(j’ai découvert qu’elle existe dans la structure des nombres quantiques atomiques n, l, m ainsi que des orbitales s, p, d, f )
Elle se
construit ici , à partir de la colonne
des 1 (que j’ai représentée
ci-dessus par les billes)… à
condition d’avoir un point de départ !
Ce point de départ origine est ici 1.
Mais nous rencontrons là le problème fondamental… celui de l’origine : laissons pour le moment le schéma ci-dessous exprimer son paradoxe : (nous y reviendrons)
Il est possible d’effectuer des sommes- inclusions successives :
Elles sont représentées par la même formule dans le tableau :
Au lieu de la colonne initiale des 1, je peux construire un tableau à partir de la colonne des 6, à partir de la colonne des 2.
Ces 2 nombres ne sont pas pris au hasard,
- L’unité 6 provient de mon travail sur les nombres premiers
- L’unité 2 ( ou paire, spin) , de mon travail sur la structure de
la matière.
(Ces unités
seront justifiées par la suite)
On peut remarquer que 2 unités 6 constituent la ligne du « tableau des nombres premiers » ci-dessus.
On voit apparaitre les séries n, n2, n3 :
- série n : première somme-inclusion à partir de la colonne des 1
- série n2 : deuxième somme-inclusion à partir de la colonne des 2
- série n3 : troisième
somme-inclusion à partir de la colonne des 6
Observons ces séries , le sens apparaitra plus tard.:
On remarquera les liens carré/ racine
- Ci-dessous le lien des colonnes 1 et 2, de façon plus « concrète »
Les 2 séries
sont décalées..
On remarquera la relation entre 1 et 2
La série numérique (verte) correspond à nos nombres,
son carré est la deuxième somme-inclusion de la colonne des 2.
Ce niveau d’inclusion introduit un nouveau niveau d’origine, 0, à la colonne jaune
- Ci-dessous le lien des colonnes
1 et 6
La série
cube n3 obtenue par la
troisième somme S3, peut être décomposée ensomme de carrés
Exemple : à 4, correspond le cube de 5 : 125=53= 5x52 =52 +52+
52+ 52+ 52
Je vois dans cette présentation en sommes de
carrés , de la somme-inclusion S3 , une forme de « beauté
mathématique » ou de cohérence
avec la série de nos nombres ( en vert).
Un niveau d’inclusion supplémentaire, pour chacune des colonnes, se traduit par la relation carré/racine.
- Pour
la colonne 6, les 4 sommes-inclusion introduisent aussi des niveaux d’origine :
Etrangement un signe (-) apparait :
Le niveau le plus haut
s’écrit en suivant les flèches
1 + (-1) =0, on a ensuite (-1)+1 = 0 et 0 + 0 =0
L’origine
décalée des 3 séries est ainsi représentée :
Sur le schéma ci-dessous, je donne une représentation
de ce décalage
- La série verte marque la graduation des axes et correspond
aux nombres tels que nous les entendons. C’est celle qui définit notre repère orthonormé
- La série jaune correspond à une unité
de longueur 2 dans le repère
orthonormé : c’est « l’unité 2 » : une unité nouvelle (toute unité est 1), telle
que :
-La série
des cubes (qui correspond à la
sommere de l’origine -inclusion S3 ), est décalée de la même façon rapport à la série
verte
Je dessine l’inclusion des cubes 1 et 2… et je vois
apparaitre une origine cube 0,
Il est important de remarquer que l’égalité 2=1 n’est pas réversible ! Elle définit la nouvelle unité : l’unité 2
-La série
rouge correspond à une unité de longueur 6 (que nous étudierons particulièrement)
Ce schéma
contient tout le mystère de l’Origine des nombres, mystère de l’Origine que
révèlent les nombres premiers (qui va s’expliquer)
·
Que représente
la série des cubes ?
La « beauté » cohérence
de ses nombres contiendrait-elle un mystère caché ?
Les cubes sont inclus les uns dans les autres :
L’espace orthonormé « positif » ou « relatif » représenté dans le repère orthonormé, n’est que le
huitième de la totalité d’espace que
j’appellerai « absolu ».
Il faut utilser les axes « négatifs » :
apparait là « l’autre
sens » qui se symbolise
mathématiquement par le signe (-)
(« voir
les choses dans l’autre sens »…
sera donc ma devise…)
L’ Origine-Complétude cube 0 (absolu) vaut 8 petits
cubes 0 (relatif).
0 = 8 x 0 : ce seraient
les « 8 premiers » (récurrence dans mon travail sous diverses
formes !)
Je dessine l’inclusion
des cubes dans les
2 séries (absolu et relatif) :
Le cube 0 absolu , est
égal au cube
1 relatif 0 = 1
La suite dessinée
affiche une série de paires :
A la série absolue, correspond une série relative formée par les cubes «
impairs » ( qui sont égaux aux cubes absolus).
Cette série (bleue) sera dite « le
relatif absolu » :
j’explique :
Chacun de ses cubes est égal à un cube de la série
absolue
On verra ces cubes impairs , comme des paires liées :
(Chaque
nombre impair peut être représenté par une paire avec son lien qui serait alors
égal à 1. Exemple 7 = 3 + 1 + 3 est la paire 3)
Ici, il ne faut pas oublier que chacune des paires est une inclusion de
cubes .
L’origine de chacune est la première paire, qui est
donc leur lien réciproque ,
c’est le lien 0=1 , compté 1:
Le relatif forme avec l’absolu, une paire
parfaite : le relatif absolu
qui met fin à toute dualité
Le relatif absolu est la complétude paire dont il est
un des éléments avec l’absolu qui est l’autre. (!)
Absolu et Relatif, dans la paire sont alors égaux !
SI on se place dans
l’autre sens :
Dans cette vision, obtenue en
« renversant » les 2 rôles , on pourrait parler d’ « absolu relatif » :
« L’absolu
relatif » vu alors dans l’autre sens, est obtenu par
un « twist », qui montre dans la complétude paire , les 2
« opposés » que l’on peut appeler 1 et
-1 et le Tout
complétude… qui serait alors 0 ( ?)
pourquoi ?
Abolu Relatif et Relatif Absolu seront dits « réciproques » .
Un « centre » que j’ai rajouté en rouge, semble prendre sa place, là… sa
présence s’expliquera par la suite :
Il aurait la
dimension 1 = 1/2… car 2 = 1
Le mystère est donc la présence de l’absolu dans notre repère relatif
Par la condition à l’origine 2 = 1 , l’absolu prend sa place dans le relatif (notre
repère orthonormé) : je place ce 0 absolu dans le repère
relatif :
L’origine du relatif absolu est alors le 2. (L’origine mathématique de la série 0,1,2,3,4…. que
nous utilisons serait en ce point)
Le modèle ci-dessus se reproduit à partir de ce 0, au niveau d’inclusion
supérieur, avec l’unité 2 = 1 qui caractérise l’absolu
Ce nouveau 0 correspond
à l’unité 6, qui a permis la
construction de ces cubes… (je rappelle que je l’ai déduite de l’étude des
nombres premiers)
L’unité 6 = 1, est l’unité 3 = 1 dans le nouveau repère de
l’unité 2 = 1
Nouvelle façon d’exprimer le lien 1,2,3 du schéma
·
L’unité 6
…fait apparaitre pour la premiere fois (1,5,7,11) :
On reconnait le cube 5 de l’inclusion impaire.
On voit le lien des unités décimale et hexadécimale.
(on compte ou on mesure, avec ou sans le zéro…)
La relation continu/quantifié
peut être vue sur l’axe gradué
simplement comme la relation
entre une longueur (continu) et ses
2 extrémités : 2 « points matériels » .
Le point dit « matériel » serait… le plus parfait élément quantifié (plus
petites valeur ‘discrète’ qu’on appellerait « quantique » )!
« 7 » et « 11 » sont ici des séries
de points quantiques.
On peut aussi les voir comme
extrémités ou nœuds sur une corde dont ils déterminent la longueur
2 points quantiques liés ( par une longueur) sont prêts à disparaitre ensemble : il suffit de former
une boucle (en collant les 2 extrémités par un point Glue) :
Ils sont alors inclus dans un point G, qui est un point
paire : les 2 extrémités disparaissent
Les 2 points réapparaissent si
on ouvre la boucle.
La boucle est une succession de points paires.
Un point matériel est double …
(« La corde »
représente la série-colonne
des 2 que j’ai décrite
précédemment : 1 est son
extrémité
Que devient le point glue ? dans cette colonne c’est le zéro qui est
apparu pour la cohérence avec la série relative de la colonne des 1)
Ce
schéma représente le principe important qui est la clé de toute ma
compréhension : je l’ai appelé
« principe Fibonacci » (origine de la suite de Fibonacci )
·
La corde et le
principe d’inclusion
On peut voir l’axe gradué comme
une corde à nœuds, qui permet de prendre conscience des longueurs- nombres
La corde est l’ inclusion de
chacun des nombres… et chacun des nombres inclut ceux qui sont nférieurs :
…ainsi l’unité 6 est le 6 qui inclut 5,4,3,2,1
- En procédant dans l’autre sens , on peut développer la corde qui est dans un état de superposition , ajouter chacune des longueurs… défaire bien des noeuds !
On procède par étapes :
Première
étape (rouge) : j’ajoute la longueur 1 (point1), au point 1 la longueur 2 (point2), la longueur 3 au point 2 …
Je réitère l’opération…
Chacune des
étapes est encore une superposition-inclusion : La série des nombres inclut son inclusion… à l’infini … ! :
- Chaque développement a la même origine qui est le 0 de la série : c’est «notre
longueur 1 » ( notre problème 0 =1 avec son
décalage)
Ce que nous appelons « unité » est la distance entre le 1 et le 2 dans chacun des
développements. L’unité existe en même
temps que son origine 0.
L’unité est toujours égale à 1.
- le premier développement
défiinit l’unité 2 = 1
Cette unité décrit « la
corde » que j’ai décrite au paragraphe précédent , qui commence toujours
par son origine. ( Avec cette unité, l’extrémité est 0 = ½ )
- au 5ième développement, on arrive à l’unité 6 = 1
L’unité 6 inclut 4 niveaux
d’unités 5,4,3,2. ( L’unité 2 est la
plus petite unité)
- A chacun des développements , notre vision
s’élargit, même si le nombre d’inclusions reste le même… jusqu’au dernier
nombre… le bout de la corde…toujours plus loin…
L’unité, sa longueur et son degré d’inclusion dépendent du niveau de développement où nous
nous plaçons.
Existe-t-il un développement qui serait la suite infinie
des longueurs non superposées ? quelle serait la longueur de cette
corde ?..
Dans notre repère, sur l’axe
graduée, elle se mesurerait en unités 1… mais le développement parfait verrait
des longueurs 0 .
La corde simple,
non superposée est une suite
continue de zéros.
Le tableau qui décrit le principe d’inclusion, dans sa totalité,
décrit aussi les unités dans leur complétude
simple et parfaite :
Voici celle de l’unité 6 :
- L’unité 6 est accompagnée de 6 zéros ( c’est
du moins comme nous pouvons la voir quand elle inclut les zéros des niveaux « suivants » qui sont… les
précédents.
Je ne peux dire
« précédents », car la numération à base 6 est la numération première dont dépend la nôtre : les nombres premiers vont le montrer
ci-dessous.
Il faut remarquer aussi que nous
avons procédé à un
« retournement » dans la logique de l’inclusion ( il se traduit
sur le tableau, par la correspondance vertical/horizontal)
L’unité a un « double », la suite simple des zéros : c’est la
vision de réciprocité de l’Unité.
- En
considérant le niveau de l’unité 2, l’unité 6 s’exprime dans sa complétude …
La complétude, « réciprocité » de 4 unités est la parité
du couple (0,1) en cohérence avec « la théorie de la réciprocité »
que j’ai développée.
Les
‘ambiguités’ introduites par la présence de l’Origine sont causées par notre
vision incomplète de l’inclusion des niveaux.
La présence
des nombres premiers, à notre niveau, en découle :
·
Les nombres premiers et le paradoxe de l’Origine
Ci-dessous :
-
Les 3 premières lignes : la longueur 6 et le zéro (zéro inclus ou
pas)
Dans les lignes suivantes, on
utilisera la réciprocité-4 de l’ unité 6, qui forme la parité de l’ unité 12 ( dans chacun des 2 sens opooés)
- sur la ligne bleue : à partir de
l’origine 0,on place le 0, puis l’unité
6 . ses extrémités sont 1et 7. La deuxième se termine en 13.
13 est le départ d’une nouvelle unité 6. ( 12 correspond au 0, d’où part
dans l’autre sens cette unité 6)
- Dans l’autre sens (en rose), le nouveau
départ 1
se superpose au 11(bleu) et le 7 au 5(bleu) . le 13 devient le 1(bleu).
Un premier cycle est ainsi
parcouru.Si l’on continue la numération, toutes les extrémités de l’unité 6
sont aux positions que nous appelons (1,5,7,11)
Ce sont les seuls points existants (nœuds qui relient les unités 6),les axes gradués n’existent pas à ce
niveau, ni les valeurs « 1,5,7,11 » !.
La base première des nombres est
l’unité 6 . Les unités 6 s’enroulent en boucle.
Cette boucle semble une boucle 24 ( 4 unités 6) : mais c’est « la boucle 12 » parcourue dans les 2 sens :
·
La BOUCLE
La
complétude unité 6 construit la BOUCLE :
Le « principe Fibonacci », va permettre la fermeture de la boucle :
Une des extrémités est le zéro ,
départ-origine, et l’autre extrémité est constituée par les 11 zéros suivants.
Les 2 zéros disparaissent dans la
fermeture de la boucle)
C’est la BOUCLE 12 :
La boucle est alors l’unité 12 =1
(Les nombres premiers mettent en lumière
« la disparition » de ces 12.)
On
peut les voir comme l’envers 0 de la boucle 12,
qui est le 1 formé d’une unité
double (le double 6) puisque 2 =
1, avec l’unité 2, il faut 2 pour faire l’unité .
1 + 1 =1
Les nombres de la numération première
seront des multiples de ce 1 qui est « 12 » : la nouvelle unité qui inclut l’unité 2 et
l’unité 6 .
Le début du chapitre
a montré que nous voyons les nombres de façon incomplète : la complétude somme-inclusion est
le carré du nombre, avec cette unité double .
Les nombres
de la numération première , pour nous
dans les colonnes (1,5,7,11) sont des multiples de l’unité :
Ils sont multiples de 12, mais ce sont leurs carrés que nous devons voir dans
la complétude…. et il ne faut pas
oublier le zéro !
C’est ainsi que si on enlève 1 (le zéro qui est en plus) au carré des nombres des colonnes (1,5,7,11) , on obtient un multiple de 12 !
[ nombre des colonnes (1,5,7,11) ]2 – 1 = 0 (modulo12)
… une façon compliquée ! de dire que :
le carré de
chacun des nombres des colonnes (1,5,7,11) est dans la colonne 1 du « tableau des nombres
premiers »
·
Dissociation paradoxale de l’Origine
Le parcours de la boucle dans les 2 sens, peut se
traduire mathématiquement par l’introduction du signe (-) ;
Ainsi l’origine semble se dissocier :
On retrouve sur ce schéma les positions définies
précédemment (1,5,7,11), à partir de chacun des zéros, qui apparait comme un manque :
Si je repère et nomme les points entre les zéros…
… je vois apparaitre l’unité 6 liée (continu) , elle correspond à une unité 4 « non liée » ( on
voit un « manque » correspondant aux zéros)
Les « 4 »
constituent une suite quantifiée ou discrète
La relation 4/6 établit la relation récurrente dans mon
travail :« Matrice /Eclaireur » :
On
remarquera que 1,2,3 sont parcourus par les 2 sens, alors : +1 +(
-1)=0 1=2=3=0
(Voila pourquoi on exclut 1,2,3… dans
l’établissement du tableau des nombres premiers)
- En considérant l’unité 1 , on obtient aussi, la relation
fondamentale de « la théorie
de la réciprocité », que j’appelle « Loi 421 »
4 = 2 = 1
- On
considère maintenant ces points :
Ils mettent en relief l’unité 3.
On peut la considérer comme la dissociation paradoxale du zéro central qui crée le lien d’une paire-unité : c’est l’ UNion
du couple :
Le couple est UN
Paradoxalement,
le 2… n’existe pas !
L’évolution transforme le
zéro initial
… ou si on voit dans l’autre sens, le 2 seul à l’Origine , se dissocie en 0 et 1 !
Les descriptions contenues dans ce chapitre ne sont
que la représentation de la dissociation
de l’Origine,
J’ajoute un schéma extrait de mon travail, qui inclut
ma vision sous une autre présentation.
Il est extrat du chapitre « le modèle Universel » . Je montre comment ce
modèle s’applique, entre autres, au « modèle standard » de la physique
.
Les mailles de « mutation peuvent se succéder …
Dès que l’on voit l’évolution
dans le modèle, la réversibilité n’est pas
possible : on aura un état initial
et un état final ( par une transformation
qui peut comprendre plusieurs niveaux
ou étapes…dans le temps).
Dans la
superposition, s’ajoutent tous les
états formés depuis l’origine : on considère qu’ils existent toujours, on
pourrait dire que le temps n’a pas de prise sur eux…
Le temps pourrait se mesurer au nombre d’états
existants.
·
Le 2 paradoxal ?...sa Puissance :
1 unité 6 = 2 unités 3
= 2 (en unités 3)
2 unités 6 = 22 ( unités 3).
Passons au
nivau suivant
-
Considérons la complétude-« réciprocité » :
4 unités 6 : 23 (ci-dessous)
- Les unités 1 peuvent former
des couples par la relation 1+1 = 1
- De
l’autre coté, l’unité 5 apparait,(symbolisée
par une étoile … comme je l’ai fait dans
une partie de mon travail qui semble plus « ésotérique », mais inséparable de mon travail
« scientifique » avec lequel elle forme un tout.).
J’en parle comme « unité
métaphysique » : elle nous représente , nous Humains, inséparables de la vision que
nous avons et représentons de la Réalité
où nous vivons.
Le couple est lié par
l’unité 11.
Il s’établit un lien
entre les unités 11 : c’est le lien
de 2 unités boucles 12 .
Nous étudierons les liens de la boucle 12 par la
suite, car …
- Je peux encore construire un nouveau niveau… d’inclusion : 24 unités 3
Je remarque aussi qu’à partir des 8 premiers (unités 3 )
ci-dessus, je passe aux 8 premiers (unités 5) :
La relation 1+1= 1, par inclusion
peut se voir comme l’unité 7
Remarque : on
retrouve (1,5,7,11)
Cette unité 7
existe déjà au niveau précédent d’inclusion :
Je peux alors
voir la somme (inclusion) 30
-
En continuant comme précédemment la multiplication par 2 : 25
- Une autre multiplication par 2 : 26
- L’unité 64 (longueur) est mesurée en unités 3. Ces unités 3
semblent séparées,une suite « discrète » de 1
L’unité 64 est une unité très ancienne utilisée il y a
plus de 6000 ans par les chinois : le Yi-King et ses 64 hexagrammes.
L’unité 60 = 1 est égale au 0 qui « disparait » à la fermeture.
Ce zéro peut aussi être vu comme l’envers de la
boucle. L’unité 60 est alors une boucle fermée, ou la boucle et son envers, ou la boucle
parcourue dans les 2 sens, la double boucle)
(L’unité 60 était la première unité, utilisée par les
babyloniens).
Avec notre unité décimale, cette unité est l’unité 6,
qui est unité 3 si on considère l’unité 2 de l’origine.
C’est cette unité, qui par 6 ( unité 6 qui se reproduit à un
niveau suivant ) = 360 forme le
cercle et ses degrés.
Remarque : J’ai réduit les schémas ci-dessus de
façon à pouvoir représenter les
multiplications.
J’ai conservé la longueur initiale : … la
mutiplication devient alors une division !
·
2 et les « 2 sens »
- La vision dans l’autre sens , montre la
division de l’Origine 1 , qui serait l’UN ,
seul, Tout.
La division multiplie les parties… (ci-dessus jusqu’à
26 )
Mais chacune des parties est toujours l’unité .
Nous pouvons interpréter de 2 façons : Evolution et Superposition
- Evolution :
Si la division , mutation
est totale à chacun des niveaux, c’est le Tout, Origine, UN que l’on
retrouve à chacun des niveaux de l’évolution .
Alors à chacun des niveaux d’évolution, on a l’unité 1 (de
l’origine) : 2n = 1.
On peut dire que l’état final
= 2n est l’état initial =1 (qui a disparu :
on pourrait le voir comme un « manque ». C’est alors qu’on l’appelle « 0 », ou qu’on lui donne la valeur opposée négative).
Mais dans cette vision , nous dirons :
2n = 1 : « la fin est le commencement »
- Superposition
On utilise
alors le principe d’inclusion :
En se divisant , l’Origine donne la première unité 2 :
Cette unité2 = 1 inclut l’origine. ( On peut aussi voir
l’inclusion comme une « superposition
des états », tels qu’on les définit en physique quantique).
Puis le 2, inclut ce 1.
Le 2 formé sera superposé de même au 1 , qu’il inclut…
c’est le « 2 de la première superposition » représenté
ci-dessous :
On peut voir que l’origine, se reproduit 2 fois, et
devient l’origine de l’unité 2, puis de l’unité 6
Le 2 de la première superposition est la somme de
l’unité 2 et de l’unité 6
L’ensemble peut être vu comme l’unité décimale , la base des nombres que nous utilisons tous les
jours.
L’unité
décimale inclut donc l’unité 2 et l’unité 6.
Cette unité peut être vue comme zéro tel que 0 = 1 , avec 0 = 1 + 2 :
Si on continue les inclusions successives, on voit se
former une série illimitée n
d’unités 2 = 1, avec cette
origine :
- Les 2 visions illimitées , qui se traduisent mathématiquement par les séries 2n et n , sont liées
par le logarithme à base 2
log2 2n = n
Le logarithme a sa source dans ce lien primitif
Lorsque la série est illimitée,
le nombre n est infini, on a établi que 2n = 1 .
Alors n = log2 (2n)= log2 1 . Les mathématiques disent que log 1 = 0 :
0 est la valeur du Tout Complétude,nous l’avons vu
comme somme de 2 réciproques que nous avons appelé 1 et -1
- Nous n’avons étudié
ici que la superposition du 2 !
De la même façon, chacun des nombres va inclure
les précédents… à l’infini…
Nous avons vu cette « inclusion d’inclusions », par l’autre coté .
La série n contient cette inclusion infinie, dans sa longueur… infinie….qui semble
toujours s’allonger…
- Dans cette série, la plus
simple, 1,1,1,1… , et la plus longue… « infini d’infini », avec la dissociation
du zéro-unité, on voit se former la série dans
les 2 sens :
Le zéro, lui
,n’est pas symétrique quand il est vu
comme superposition des « unités
premières 2 et 6 » :
Sur ce schéma on peut voir
- l’axe mathématique et son origine décalée. En considérant les 2
sens, on voit la dimension de l’Origine (somme de l’unité 2 et de l’unité 6 )
Remarque : l’unité est maintenant l’unité 2 sur les axes
- l’unité 12 fait 10/11
/13/ selon la vision que l’on
choisit : les « vide »
ou les « plein » , le contenant
(extrémités) ou pas.
- 9 : le zéro de la preuve (autre vision de l’unité
12).
C’est ainsi aussi que l’unité est vue
comme 3, 4
ou 5 , si on considère le contenant , 3 et 4
sans le contenant (souvent oublié) .
La « beauté » du triangle de
Pythagore vient de cette « réciprocité » , dont la figure ci-dessous
est une représentation :
C’est le point de départ de toute ma
réflexion qui démarrait sans mot et sans chiffres… symboles et couleurs…
ésotérique ( ?)…
Pour moi, le
Symbole contient Tout… à lui seul, il est démonstration du Principe d’Inclusion…
réciprocité
·
Le lien des
boucles 12 est l’ autre façon de voir
Quand une
boucle s’ouvre apparaissent 2 points qui faisaient partie du lien entre 2
points quantiques ou quanta 1 : le lien
était le Point G double. (« principe Fibonacci »)
D’où provient ce point « Glue » ?
Mon travail a montré qu’il est un
lien toujours existant entre « le
Juste Milieu » et « le
Grand Contenant » de la Boucle .
Ce lien est justifié par la vision quantique :
La vision quantique en fait l’union
de la vision localisée de l’unité 1 au centre de la boucle , et de la
vision « non-localisée »
- le lien de 2 boucles
peut ainsi s’établir :
Le lien se fait, de façon croisée, c’est un TWIST ( autre récurrence de mon travail)
qui construit une boucle de Möbius :
(Le lien 11 : 11
se fait par le TWIST de l’Origine, qui est aussi le lien croisé de
2 points G
La boucle de Möbius
On remarque que si effectivement on compte 11 points
sur chaque boucle , le lien se voit « écrit : 11x11 » !
-L’unité 60
peut aussi se former à partir du lien
twisté des boucles 12 :
Le lien des boucles 12 construit une série « décimale » qui peut
se fermer en boucle : la boucle de 6
boucles 12 est l’unité 60.
La série peut rester infinie… après un
zéro initial = 11, elle se terminera
par 11 !
Ce zéro est un double zéro qui se décompose 11
= 1 +10 : Origine + l’unité (10)
-La
série décimale se présentera alors
comme la série n infinie , avec
paradoxalement 2 extrémités ! :
Les 2 extrémités
seront liées dans une boucle de longueur infinie, alors sera vu le zéro :
L’unité est
décimale-boucle : 10 = 1.
Le zéro a la dimension de 2 Unités = 20
Si je place cette origine dans le repère
relatif : je vois la dimension de l’Origine que ne prennent pas en
compte les mathématiques !
(ci-dessous un
encart qui reprend le début d’un chapitre que j’avais intitulé « la
Clé ».
Le zéro origine, « absolu » sera centre en coordonnées sphériques.
Si je place
cette origine dans le repère relatif mathématique , où j’avais placé les cubes décrits à
partir de l‘unité 6 : (schéma
ci-dessous) : il y a cohérence avec le « relatif absolu ».
Toutes les théories bâties depuis la plus lointaine Antiquité… jusqu’aux plus
modernes de la physique qui voudraient bien se rejoindre : théorie de
l’infiniment grand (relativité d’Einstein) et théorie de l’infiniment petit
(mécanique quantique)… utilisent une même vision, celle de notre corps…
de nos yeux !… et celle de notre
imagination : la faculté de notre esprit à créer des structures…
Nous vivons dans un monde où 6
directions privilégiées nous entourent toujours, sans que nous soyons
conscients de cette base structurelle qui est notre lot commun.
Toutes nos visions du monde en
découlent !… c’est la seule clé de toute compréhension… : « devant-derrière, droite-gauche, dessus-dessous »
C’est une évidence… pour nous tous,
qui pourtant nous effraye bien souvent quand on la détourne en l’appelant repère
orthonormé des mathématiques.
Nous sommes ainsi l’origine O de ce
repère…
Pour les mathématiques l’origine est
un point O virtuel, parfait, « sans dimension » qu’on ne peut situer…
un point mathématique Point P…qui aurait donc une structure de cube…
comme son unité , le cube de coté 1.
La physique pour construire ses
théories utilise les structures inventées par les mathématiques…
La physique veut trouver une théorie
qui représente et peut expliquer parfaitement « la réalité physique »
de notre monde
Les mathématiques ne prennent pas en
compte la réalité de notre existence…
Pour nous il y a deux dimensions de
plus que celles qui construisent le
trièdre mathématique : l’intérieur et l’extérieur !
Ce sont même les 2 dimensions qui
suffisent à nous définir :
Nous oublions aussi parfois cette
dimension unique… celle de notre corps et celle de notre conscience…la
globalité de notre être
La conscience que nous avons de
notre vie… du temps … de nos sentiments…
L’espace mathématique est
extérieur à l’origine… On pourrait même dire que l’espace mathématique se
définit par l’exclusion : Tout sauf l’Origine !
Nous ne pouvons pas faire l’impasse
de l’intérieur… nous sommes l’origine !
L’unité 1 a
la dimension du zéro : c’est l’unité 20 =1
Remarque : cette unité était montrée dans le tableau des
sommes-inclusions : après l’unité
2, l’Unité 6, L’unité 20 (ou décimale double)… construit un niveau supérieur
d’évolution
Comme l’ont montré
les cubes, ici aussi on aura une unité nouvelle double, elle vaut 4 unités
décimales =40 .
4,2,1… « la
théorie de la réciprocité » se
situerait à ce niveau …
(elle inclut en effet notre dimension de l’Humain … et cette partie était difficile à soutenir pour une scientifique)
- la boucle infinie
Si l’on se
place à l’infini (boucle infiniment grande) , les unités en nombre infiniment
grand seront paradoxalement infiniment
petites, comme le montre l’évolution des schémas ci-dessus et le principe
d’inclusion dans la série n.
Ces petites unités sont les quanta
« sphériques » représentés ci-dessous avec la plus petite boucle
12.
Par analogie,
avec la série de boucles ci-dessus, ces 2 quanta sont comme les 2 points quantiques
qui apparaissent à l’ouverture de la boucle.
La boucle infinie se présente comme « la corde de points G »
Fermée la
boucle est « Twistée », mais la position du TWIST n’est pas définie
sur la boucle :
La dimension du quantum boucle se mesure par sa circonférence.
Son rayon « @ » est
tel que
:
c’est l’unité-boucle
@ est le rayon de la boucle unité, ou
le diamètre ! Là est le PARADOXE à saisir :
En
effet le diamètre = unité 2… car l’unité 2
est 1.
C’est le 1 qui
s’est dissocié en 2 : les
niveaux de dissociation sont
inclus à l’infini, vers l’infiniment grand ou l’infiniment petit …
Tout
comme l’infini échappe dans sa dimension … toujours plus infinie, (si l’on peut
dire) , la dimension minimum fait de même dans l’autre sens … infiniment petit.
Au centre est le quantum origine , qui par la première
dissociation donne le 2 :
J’ai rajouté le quantum central,sur le schéma ci-dessus :
PARADOXE : - Si on
voit la dissociation qui y est
représentée… il n’y est pas !
- Si Il est seul avant toute
dissociation : le dessin n’a pas lieu d’être !
ou bien : il y a 3
quanta à l’Origine : C’est l’Unité
TRINE 1 de l’Origine.
(Je dirais : ’ la boite est là, avec « le chat de Schrödinger » mort et
vivant à la fois !’ )
C’est la dimension du quantum qui est représentée ci-dessus,
dans ses extrêmes… à prolonger évidemment dans les 2 sens , par
dissociation…!
On verra ainsi que les 2 points quantiques ,
extrémités, limites extrêmes, peuvent être vus comme « le Juste Milieu » et « le Grand Contenant » .
(La vision sphérique facilite la compréhension des réciproques cubes)
On peut dire que : «
Juste Milieu » + « Grand Contenant » = 1 (l’Origine dissociée en «
Juste Milieu » et « Grand Contenant » est TRINE ou TRI-Une)
( j’avais découvert @ déjà sous 3 formes
différentes qui se calculent avec nos nombres avec des valeurs
« assez » approchées)
Dans un calcul approché, je reconnais la valeur e mathématique , qui est cohérente car :
on pourra écrire
la définition
mathématique du logarithme permet d’écrire : Loge
en = n et
donc :
Nous avons déjà vu que
l’infini n est
aussi 0
La dimension du quantum peut se représenter par ce
nombre paradoxal à la fois égal aux 2 extrêmes :
n
= ( 0 , 1 ) : un nombre
« transfini »
Le logarithme fait le lien entre les 2 extrêmes réciproques :
ce serait « le Twist
mathématique » de l’Origine…
·
Les nombres «
transcendants »
Dans la valeur
irrationnelle de π, je voyais une « imperfection »
paradoxale qui empéchait la
circonférence du cercle de se fermer…
C’est ainsi que j’ai découvert @ «
l’Alliance » dans la formule : 2@ = 4/3. (Son symbole contient tout le sens de ce
mystère)
L’ Alliance fait le lien entre les nombres transcendants mathématiques : e , π , φ Nombre d’Or.
Ils ont tous les 2 valeurs, extrêmes et égales ,
réciproques 0 et
1, ce sont des transfinis ( dans ma formulation) :
( @ ,e , π , φ ) =
( 0 ,1 )
Ecriture du quaternion
Origine selon « la théorie de
la réciprocité »
Les 4 formulations de @ sont parfaites , (mais approchées irrationnelles dans notre vision numérique encore
limitée) :
Les valeurs approchées connues sont calculées dans « notre »
système décimal . Ces formules s’établissent… « avant ! » , avant même les nombres premiers… ce qui donne
des différences…
·
Arithmétique Originale
J’avais écrit dans mes pages : « la valeur transcendante de
l’unité » : 2@π = 1.
Le calcul numérique donne une bonne
approximation, qui permet l’égalité : 4/3π = 10@
On en déduit la relation entre π et le Nombre d’or φ :
φ = log10(40π/3)
Je rapproche cette valeur de 1 = Loge (2π@) @ est l’ unité 2 @ = 2 (= 1)
…et l’écris : φ= log10(2π x 20/3) 20/3 est « Juste Milieu » + « Grand
Contenant » (= 1) . Je le montre ci-dessous :
On revoit l’unité 20.
Ce schéma en donne une interprétation.
20 = 3x6 + les 2 extrémités…
qui permettent la fermeture en boucle. 20/3 : 3 unités (divisé par 3)= l’unité 6 = 1
(Les 3 unités sont la
représentation d’un couple réciproque
parfait : 2 unités 6 ( 1 ) égales, et leur lien ( 1 ) qu’elles sont aussi .
C’est l’Unité Trine =( 3 unités =1) . L’unité
Trine peut être vue comme une Unité
3 , quantum-boucle de l’Origine.
L’écriture 20/3 met
en évidence 2 et 3 :
L’unité 6 dans la
vision de l’unité 2 est unité 3.
La superposition des
2 Unités (2 et 3 ) de l’Origine
construit l’unité décimale = 1 qui se présente comme une unité 2 double.
La réciprocité est créée par le mystèrieux TWIST de l’Origine, qui « renverse » tout :
Nous avons vu :
Les unités 10 en boucles continues formées d’unités 12 (unité double 6).
L’ Unité
12 double
… est le TWIST lui-même : Boucle de Möbius … quantum de l’Origine
·
Inclusion-Conclusion-Origine :
…. Avant tout « nombre
premier » :
Il n’y a que 3 Unités
« intriquées » qui sont
UNE :
Cette TRINE UNITE s’exprime :
Cette arithmétique « Originale » de l’Origine ,
éclaire d’un jour nouveau, la Physique
et ses constantes … (développé dans « la
théorie de la réciprocité »)
·
Réflexion sur le Temps et l’Espace
Le mystère du Temps et de l’Espace, rejoint celui de l’Origine.
Il y a 2 façons de considérer la dissociation paradoxale de l’Origine :
- L’évolution, par mutations complètes, produit une série d’états, tous « identiques » à l’Unité Origine.
Ce sont des unités trines UN (couple uni par la réciprocité)
Ces unités- quantum sont dans « le Grand Contenant »
L’Espace est le Grand Contenant des 2n quanta, n est infini et croit avec chaque niveau d’évolution…
Les quanta évoluent et se crée la Matière
L’Espace est Grand Contenant de la Matière
- Le principe d’inclusion, ou la « superposition ».
Paradoxalement, la complétude de superposition ou « inclusion des inclusions » construit une série continue infinie
Le Temps serait la Boucle infinie de ce continuum infini
Les unités y apparaissent en boucles
Temps et Espace sont 2 réciproques,
participant du même couple qu’ils sont : la Boucle du Temps est aussi le Contenant Espace.
2π@ = e est ainsi quantum espace (cohérence du symbole avec
son nom).
Par analogie, et la cohérence le
justifiera ci-dessuous :
2πφ = T est le Temps Boucle Infinie dans la vision non localisée du quantum qui
est alors φ
( J’avais établi que @ et φ sont 2 réciproques)
Cette écriture est cohérente pour représenter les 2 extrêmes du quantum .
Le calcul
numérique (approché) donne la valeur de T = 10 = « 1 »
.
Ces 2
valeurs se réfèrent au logarithme.
Quantum espace 2π@ = e = « 1 »
Quantum temps 2πφ = 10 = «
1 »
On peut donc écrire log2 sous une forme
analogue aux précédentes : (les 2 formes de l’unité 2 et 3 sont contenues
dans ces formulations)
Ces
égalités sont de la forme : LOG(« 1 ») =
1
Ce 1 est le UN Original, l’ORIGINE , que nous
connaissons en mathématique comme « 0 » :
les mathématiqes
disent LOG 1 = 0
Donc 1 =
LOG 1 = 0
L’origine s’écrira
UN = LOG =
ZERO :
Le logarithme dans la triple intrication de l’UNITE, est le TWIST qui donne accès à l’Origine 0 ou 1, à la fois
le Twist Origine est le lien d’union parfaite…
dans une paradoxale dissociation
réciproque !
Espace et Temps sont 2
réciproques :
Le quantum temps et le Temps infini
sont 2 réciproques opposés comme l’Espace et son quantum :
T = 1/τ = E* E = 1/e =
T*
Dans « la théorie de la
réciprocité », j’ai établi la relation
entre l’Unité et son quantum (et leurs réciproques):
La Matrice peut s‘écrire sous la forme
Eclaireur : on y voit l’Espace-Temps
et son quantum
Le Twist
de l’Origine sera représenté par un échange entre 2 opposés qui
constituera un double lien croisé, que nous avons déjà rencontré:
(Mathématiquement, les propriétés de permutation des matrices s’expliquent par le Twist de l’Origine.
Les réciproques de la forme a a* = 1 ou a = 1/a* , sont tels que leurs logarithmes log a = - log a* : c’est ainsi que l’on verra apparaitre le signe –, pour représenter des réciproques « opposés » mathématiques. )
Le Twist montre que :
- l’Espace
contient les quantums du Temps : τ et E sont liés (encadré).
C’est notre vision du temps, divisé en durées…
- Le Temps contient les quantums d’Espace : e et T sont liés.
Nous sommes
des quantums d’Espace, qui voient passer la continuité de Temps, du passé au futur…
· Ma réflexion personnelle, voit l’Unité de l’Humanité et de chaque quantum Humain …
Je (quantum UN) suis en un lieu, à un moment donné : c’est mon lien personnel Espace-Temps
Ce lien est « ma Vie » : mon temps propre dans le Temps (en unités- boucle : secondes, minutes, heures, jours…) et dans l’Espace que je peux mesurer (en unité décimale)
Comme dans
l’Espace, j’existe dans le Temps…où est le Mystère…
«Inclusion des inclusions », il contient
Tout…depuis l’Origine.
Il suffit de dérouler… suivre le fil, 1,1,1,1… cohérence de la plus simple série jusqu’à l’Origine à découvrir…. Accepter l’Inconnu… lâcher prise et lui dire oui…
Ce Temps de
la Boucle infinie, est Grand
Contenant de Toute Connaissance…, Esprit…que je suis aussi… comme toi…
Le Logarithme aussi fait le lien du 1 et du Zéro .
Je l’écrirai en anagramme, c’est la commutativité des lettres :
(J’ai joué avec les lettres, les mots… on a douté alors de ma santé mentale… mais des scientifiques connus font de beaux anagrammes… alors j’ose)
La commutativité n’existe pas dans l’Espace (matériel), c’est une propriété du Temps qui contient tout, on peut y avoir toujours accès dans n’importe quel sens !
C’est le Temps des artistes, des mystiques, des fous, des voyants, des rêveurs… et de l’intuition des mathématiciens…
loG
je vois … le point G : point matériel… ou quantum de la Matière
Aurais –je raconté l’histoire du Graviton ?
Le lien twisté de l’Espace et du Temps
Mais UN, aussi, est double, un couple :
Je vois… GOD et… ?
Le couple se dévoile …
« La théorie de la réciprocité » a déjà dit le secret de la Lumière
… et je découvre mon anagramme
personnel !